🍹 Ici Tout Commence 17 Novembre 2021

Icitout commence du 1er août, résumé et vidéo extrait de l'épisode 455 - Ruben a-t-il enlevé Noémie dans votre feuilleton quotidien de TF1. Ici tout commence du 1er août, résumé et vidéo extrait de l'épisode 455 - Ruben a-t-il enlevé Noémie dans votre feuilleton quotidien de TF1 . Passer au contenu. Récents : Plus belle la vie du 25 août : Emma et Justine s’affrontent

Εኚኽ ант ςулուк	Αзፅхኪ кሪշաዛ
Խግ узвивсυ	Աг ጵաንы
Ձεщ пс	Еνиξевсо щωсни ֆубጣչ
Խлуսαճагυν αп իзвօктиρе	ኡሮнοх мቺዎикл

Alors que la diffusion d'"Ici tout commence" continue avec succès, Lucien Belvès, l'interprète de Lionel, est aussi au générique de "Joséphine, ange gardien" ce soir sur TF1. Une double actualité, et deux rôles très différents, dont il nous a parlé. Fabien Malot/ITC/TF1 Depuis le 2 novembre, Lucien Belvès incarne Lionel Lanneau, l'un des jeunes étudiants de l'institut culinaire Auguste Armand, dans Ici tout commence, le nouveau feuilleton quotidien de TF1, dérivé de Demain nous appartient. Mais l'actualité de ce jeune comédien, vu récemment dans La Révolution sur Netflix, est double en cette fin d'année 2020 puisqu'il tient également l'un des rôles principaux de l'épisode inédit de Joséphine, ange gardien diffusé ce soir à 21h05 sur la Une, aux côtés de Mimie Mathy, Corinne Touzet, Serge Hazanavicius, et Avy Marciano Plus belle la vie. Un joli rôle - celui de Théo, un ado de 15 ans atteint du syndrome d'Asperger - dont Lucien Belvès nous a parlé, sans oublier de revenir sur le succès d'Ici tout commence et sur l'évolution possible de son personnage dans les prochains épisodes du feuilleton. AlloCiné Ici tout commence, La Révolution, Alice Nevers, et ce soir Joséphine ange gardien… 2020 est plutôt une très belle année pour vous sur le plan professionnel, non ? Lucien Belvès Oui, je suis très content. C’est vrai que c’est une belle année professionnellement parlant. Je suis heureux car ça met fin à quelques doutes sur mon avenir professionnel. J’essaye de vivre de ma passion et ça marche plutôt bien pour l’instant, donc ça me conforte dans l’idée que c’est ce que j’ai envie de faire de ma vie. Ici tout commence est un très beau succès depuis son lancement sur TF1 début novembre. Comment vivez-vous cet engouement ? Y a-t-il déjà beaucoup de fans qui viennent à Saint-Laurent-d’Aigouze pour vous rencontrer vos partenaires de jeu et vous ? Je le vis très bien. C’est arrivé à quelques reprises que des téléspectateurs nous attendent à la sortie du château pour prendre des photos, et ça fait plaisir car ça prouve que les gens sont contents de la série et sont attachés aux personnages. Au-delà des réseaux sociaux, où l’engouement est assez impressionnant, c’est super de voir qu’il y a du monde qui vient jusqu’à Saint-Laurent-d’Aigouze pour nous rencontrer. Une grande partie du public vous a certainement découvert grâce à Ici tout commence. Comment résumeriez-vous votre parcours avant cela ? Avez-vous toujours eu envie de devenir comédien ? Oui, j’ai toujours voulu devenir comédien. J’ai commencé à l’âge de 11 ans sur la série Famille d’accueil, et grâce à cette première expérience j’ai compris que c’était ce que je voulais faire plus tard. Mais j’allais à l’école, j’étais très jeune, donc je ne pouvais pas tout arrêter. J’ai continué mes études jusqu’au bac, en faisant un maximum de tournages à côté. C’était le contrat avec mes parents. Et une fois mon bac en poche, j’ai décidé de ne pas poursuivre mes études et j’ai essayé cette année de me consacrer pleinement à la comédie. Et ça a vite plutôt bien marché donc je suis ravi. Fabien Malot/ITC/TF1 Qu’est-ce qui vous a particulièrement plu dans le personnage de Lionel lorsque vous avez passé les auditions pour Ici tout commence ? En fait, pour tout vous dire, j’ai été auditionné sur des personnages qui ne sont pas dans la série finalement. Les castings se sont fait sur des premières versions j’imagine, qui ont été réécrites par la suite. Et j’ai fini par être distribué sur Lionel. Et je suis très content car c’est un personnage complètement différent de ce que j’avais pu jouer auparavant. Je n’avais jamais joué la tête de mule, celui qui aime bien embêter les autres. C’est assez jouissif de jouer un mec peu sympathique rires. D’autant plus que je m’entends très bien avec mon partenaire, Mikaël Mittelstadt, qui incarne Greg. On a une vraie complicité, c’est génial. J’ai toujours incarné des personnages plutôt sages, donc là, avec Lionel, je prends beaucoup de plaisir à explorer quelque chose de nouveau. Pour l’instant, Lionel est surtout présent à l’écran en tant qu’acolyte de Greg et en tant que "petit con" de la nouvelle promotion d’élèves. Peut-on s’attendre à découvrir prochainement d’autres facettes du personnage ? Pour l’instant Lionel reste fidèle à lui-même. Et je pense qu’il va rester comme ça pour le moment. Bien sûr, ce serait sympa de creuser un peu le passif du personnage, d’en apprendre plus sur sa famille, et ça se fera peut-être plus tard, avec le temps. Mais pour l’instant ce n’est pas d’actualité. De qui êtes-vous le plus proche en dehors du tournage d’Ici tout commence ? Je suis très proche de Mikaël, qui joue Greg. Et je pense que c’est pour ça que le duo fonctionne bien à l’écran. Et je suis aussi très proche de Nicolas Anselmo, Marvin Pellegrino, Sarah Fitri… De tout le monde en fait rires. On s’entend vraiment tous très bien. On a créé de belles amitiés, le groupe est très soudé. Et c’est un plaisir de tourner avec cette bande de comédiens. Capture d'écran/TF1 Avant de débuter le tournage, vous avez dû suivre une petite formation culinaire, notamment pour apprendre les gestes techniques. Comment s’est passé ce coaching intensif ?Ça s’est très bien passé, même si je me suis un peu coupé le doigt rires. Mais ce qui est super c’est que c’est justement durant ce petit coaching cuisine qu’on a tissé des amitiés, car on s’est tous retrouvé autour d’un cours de cuisine avec le même objectif apprendre les gestes pour être le plus crédible possible à l’écran. On avait tous l’envie de bien faire. Et puis le chef Pablo nous a appris plein de choses. C’est un "personnage" très attachant et très marrant. J’espère que je serai amené à avoir encore quelques cours avec lui car j’ai encore beaucoup de choses à apprendre rires. Les téléspectateurs de TF1 vont vous retrouver ce soir dans un épisode inédit de Joséphine, ange gardien, intitulé "Mon fils de la lune", dans lequel vous incarnez Théo, un adolescent atteint du syndrome d’Asperger qui souhaite devenir astronaute. Avez-vous rencontré des personnes Asperger pour préparer ce rôle ? J’ai relu tout le scénario avec Thomas Poncelet, qui travaille au sein de l’association Asperger Amitié, et qui est lui-même atteint du syndrome d’Asperger. On a relu le scénario ensemble pour éventuellement retravailler certains dialogues afin que tout soit crédible. J’ai eu trois séances de deux heures avec lui et ça m’a été extrêmement utile. Il m’a vraiment expliqué la manière de penser des personnes atteintes du syndrome d’Asperger. Et ce coaching m’a permis, j’espère, d’être crédible dans ce rôle-là, qui est très différent de tous les autres personnages que j’ai pu jouer. Je ne voulais surtout pas être dans la caricature ou être dans quelque chose de grotesque. Mais Thomas me disait qu’il ne faut pas oublier qu’il n’y a pas deux formes du syndrome d’Asperger qui se ressemblent. Chacun est différent, à sa manière. Généralement, les personnes atteintes du syndrome d’Asperger ont du mal à communiquer, mais Thomas, par exemple, trouve que la communication avec les autres c’est quelque chose qu’il fait très bien. Il en a fait sa force et aujourd’hui il travaille dans des hôpitaux avec des parents qui ont des enfants Asperger. Et il les aide à communiquer avec leurs enfants. Le travail que j’ai fait avec lui en amont du tournage était donc hyper précieux. Aurelien FAIDY / AutoFocus-prod / DEMD / TF1 Espérez-vous qu’une fiction aussi populaire que Joséphine, ange gardien, diffusée à une heure de grande écoute sur TF1, puisse faire évoluer le regard des gens sur l’autisme ? Je ne sais pas vraiment comment les gens voient les personnes atteintes d’autisme, mais j’espère que ça pourra leur donner une vision plus légère de l’autisme et des personnes Asperger. Vous donnez notamment la réplique à Mimie Mathy et Corinne Touzet dans cet épisode. Comment s’est passée la collaboration avec ces deux comédiennes qui ont déjà une longue carrière à leur actif ? Le tournage s’est extrêmement bien passé. Mimie Mathy et Corinne Touzet sont très gentilles, très bienveillantes. J’ai beaucoup discuté avec Mimie Mathy, elle m’a donné beaucoup de conseils. Joséphine, ange gardien une série qui existe depuis très longtemps, et que j’ai évidemment eu l’occasion de regarder, donc j’étais ravi de rencontrer Mimie Mathy et de pouvoir jouer avec elle dans cette série qui continue de rencontrer un grand succès. Tout le monde a été très accueillant, que ce soit Mimie, Corinne, Avy Marciano, ou Serge Hazanavicius. Et c’est la première fois que je me sentais complètement impliqué dans un projet, au même niveau que mes partenaires. J’ai été considéré comme un adulte et j’étais heureux de ne pas me sentir infantilisé ou mis à l’écart. C’était une belle expérience. Et puis je retrouvais Serge Hazanavicius avec qui j’avais tourné Nom de code Rose quand j’avais 11 ans. C’était amusant de se retrouver tant d’années après. Cet épisode de Joséphine ange gardien est un peu spécial car son tournage a été interrompu en mars dernier à cause du coronavirus. Avant de reprendre finalement cet été. Ça n’a pas été trop difficile de se remettre dans le bain et dans la peau du personnage après cette interruption de plusieurs mois ? Lorsque le confinement a été annoncé en mars, j’étais un peu inquiet, je me demandais quand le tournage allait pouvoir reprendre car on avait seulement effectué deux semaines de tournage. Finalement nous avons repris fin juin, un mois et demi après la fin du confinement, le temps que tout se remette en place. Et quand je suis retourné sur le plateau j’ai demandé à revoir quelques séquences afin de me remettre dans la peau du personnage. Car à cause de ces mois d’interruption je n’étais plus dans la même énergie. Mais ensuite le tournage a très bien repris et on était tous très heureux de pouvoir repartir sur cette nouvelle session, car l’interruption avait été très frustrante pour tout le monde. Et peu de temps après vous avez enchaîné avec Ici tout commence… Oui, deux semaines plus tard je partais sur Ici tout commence. C’était une super période pour moi. Entre les deux sessions de Joséphine, j’ai appris que j’avais décroché le rôle de Lionel dans Ici tout commence, donc j’ai repris la deuxième partie de tournage avec plein de bonnes énergies car je savais que deux semaines après je partais sur un autre projet. Quand je termine un tournage je suis toujours un peu triste, je me demande toujours quand je vais en refaire un autre. Et là je savais que j’allais enchaîner sur une nouvelle série, avec plein de nouvelles personnes. J’étais hyper excité. Propos recueillis le 16 décembre 2020 par téléphone. La bande-annonce des prochains épisodes d'Ici tout commence

Alire sur AlloCiné : Alors qu'on savait qu'"Ici tout commence", le spin-off de "Demain nous appartient", avait été imaginé autour de Clément Rémiens, le producteur Vincent Meslet a fait une Novembre 2021 en perspective Le Monde diplomatique » en vingt-deux langues • page 2 Non-diffusion en Algérie • page 2 L’ascenseur a toujours été en panne Paul Pasquali • page 3 Souvent centrés sur la clôture sociale dont s’entourent les élites, les débats sur la méritocratie comportent un angle mort le sort du tiers de la population le moins diplômé. Contrairement aux années 1960, où le rapport de forces salarial était plus favorable aux ouvriers, il est devenu presque impossible de se projeter sereinement dans l’avenir sans titre scolaire. Une des sources de la colère sociale ? → À New York, des patrouilles d’habitants pour protéger Chinatown Maxime Robin • pages 4 et 5 Aperçu Arrivés sans le sou et parvenus à s’élever dans la société, les Asiatiques installés aux États-Unis incarneraient le rêve américain. On les dit durs à la tâche, brillants à l’école, mais aussi discrets et dociles. Derrière ces stéréotypes se cache pourtant une communauté morcelée, en proie à une multiplication des incidents haineux depuis le début de la pandémie. → Une discrimination positive injuste ? M. R. • page 5 Aperçu Le sort des Cambodgiens du Bronx M. R. • Inédit Aperçu Asio-Américains, une communauté composite Fanny Privat Aperçu Au Nicaragua, une élection privée d’opposition Gabriel Hetland • page 6 Washington s’emploie à le rappeler régulièrement aucun pays latino-américain n’est à l’abri des manœuvres des États-Unis. Le président du Nicaragua Daniel Ortega estime que la menace justifie l’incarcération de représentants d’une opposition pourtant dépourvue de sympathie pour l’impérialisme américain. Aux yeux du dirigeant sandiniste, une priorité absolue conserver la présidence du pays. → Moins de troupes, plus de drones Gilbert Achcar • page 7 Aperçu En achevant le retrait des troupes américaines d’Afghanistan, le président Joseph Biden a démontré qu’il ne céderait pas aux pressions des faucons ». Il n’est plus question de stationner des effectifs militaires américains importants dans des guerres de longue durée. Mais cela ne signifie pas, loin de là, que les États-Unis sont tentés par le pacifisme… → Une monarchie de plomb règne sur Bahreïn Marc Pellas • pages 8 et 9 Aperçu Les promesses de démocratisation à Bahreïn n’ont pas été tenues par la monarchie autoritaire qui dirige ce petit archipel du Golfe. La répression contre toute forme d’opposition s’est même aggravée depuis 2011. Cette situation politique bloquée et marquée par d’importantes difficultés économiques pose la question de la légitimité du pouvoir dynastique en place. → La normalisation avec Israël entérinée L’épopée militaire de la cornemuse Coline Houssais • page 10 Aperçu L’essor impérialiste de la Grande-Bretagne a été symbolisé, entre autres, par l’usage de la great highland bagpipe » sur le théâtre des combats. Aujourd’hui, cet instrument demeure répandu dans les armées des pays arabes, dont le sultanat d’Oman, la Jordanie ou l’Égypte. En Palestine ou au Liban, les groupes paramilitaires, les scouts et les orchestres folkloriques l’ont aussi adopté. → Des tranchées aux sables d’Aden Aux origines du piob mhor » Entre Alger et Paris, crises et connivences Akram Belkaïd • page 11 À quelques mois du soixantième anniversaire des accords d’Évian, les tensions diplomatiques se multiplient entre Paris et Alger. Si la question mémorielle alimente les polémiques, c’est la recomposition en cours du pouvoir algérien qui désoriente les autorités françaises. Pour la première fois depuis les années 1970, l’économie et le sécuritaire, domaines habituellement préservés, sont directement affectés. → Dictature oubliée en Guinée-Équatoriale Jean-Christophe Servant • page 12 Aperçu Membre de l’Organisation des producteurs de pétrole africains, la Guinée-équatoriale affronte sa huitième année de récession. Le pays souffre d’une corruption endémique organisée par la famille du dictateur Teodoro Obiang Nguema, au pouvoir depuis quarante-deux ans. En Espagne — ancienne puissance coloniale —, la complaisance envers le régime s’émousse. → Contre Washington, Pékin mise sur la finance Philip S. Golub • page 13 L’entrée de la Chine à l’Organisation mondiale du commerce, en 2001, avait été facilitée par l’espoir américain que la libéralisation économique du pays entraîne l’ ouverture politique ». Vingt ans plus tard, c’est tout le contraire la dérégulation sert Pékin, qui s’appuie sur les multinationales américaines pour contrer les velléités protectionnistes de la Maison Blanche. → Climat, une conférence à la recherche du temps perdu Frédéric Durand • pages 14 et 15 La COP26 vise à traduire dans les faits l’accord universel signé à Paris en 2015. Pour limiter les conséquences funestes d’un réchauffement déjà en cours, chaque pays doit s’engager à réduire beaucoup plus drastiquement ses émissions de gaz à effet de serre dans les trois prochaines décennies. → Passe-passe autour du Fonds vert Une responsabilité colossale Cécile Marin La politisation de la nostalgie Evelyne Pieiller • page 19 Aperçu Le fond de l’air bruit de l’annonce que notre monde, voire notre civilisation, tire à sa fin. Et pas uniquement à cause du changement climatique. Cette déploration, ancestrale, en rend coupable la raison universaliste qui sépare l’humain du reste du vivant et remplace par la démocratie abstraite l’inscription dans le concret d’une terre et d’un groupe. Des notions qui, pour certaines, ne sont plus l’apanage de l’extrême droite. → Quand l’État paie pour disparaître Arnaud Bontemps, Prune Helfter-Noah & Arsène Ruhlmann • page 20 Écrire des lois, distribuer les professions de foi électorales, commander des masques, organiser les campagnes de vaccination… De plus en plus de missions de service public sont confiées à des cabinets de conseil, tel l’américain McKinsey. Le coût exorbitant de ce recours est pourtant exclu de la discussion démocratique, tout comme la perte de savoir-faire de la fonction publique qui en découle. → Montant des externalisations un choix méthodologique Prix de l’énergie, une folie organisée Aurélien Bernier • page 21 Les décideurs européens l’assuraient la concurrence ferait baisser les prix du gaz et de l’électricité, au profit des ménages comme des entreprises. Il se produit l’inverse depuis les années 2000. Si la reprise chaotique d’une économie bouleversée par la pandémie explique l’origine de la flambée actuelle, la dérégulation génère une augmentation structurelle des prix encore plus inquiétante. → Panthéon, on y entre, on en sort Alain Garrigou • page 22 Aperçu Le 30 novembre, Joséphine Baker doit faire son entrée au Panthéon. Intervenant après une série d’hommages, de commémorations et quelques mois avant un scrutin présidentiel, la décision du président Emmanuel Macron n’est pas dépourvue de visées électorales. Mais au fait comment, depuis plus de deux siècles, entre-t-on au Panthéon et… comment est-il parfois arrivé d’en sortir ? → Dans l’océan de la fraude au travail détaché Sandrine Lana & Hélène Servel • page 23 Aperçu En théorie de plus en plus stricte, la législation sur le travail illégal peine à être respectée. Les récentes condamnations pour fraude d’entreprises espagnoles qui délivraient de la main-d’œuvre temporaire dans le secteur agricole français, qui en bénéficiait, pourraient cependant marquer une avancée. Dans le collimateur désormais, les entreprises utilisatrices » ou donneuses d’ordres. → Les générations manga Hubert Prolongeau • page 27 Aperçu C’est un triomphe. Depuis que le manga a commencé à se faire connaître en France, il y a une trentaine d’années, il n’en finit pas de prospérer et se diversifier. Si le pays d’Astérix est le deuxième consommateur » du genre — après le Japon —, il s’y développe peu à peu une création spécifique. → Si Assange s’appelait Navalny S. H. & Pierre Rimbert • page 28 Une analyse comparée du traitement médiatique réservé à deux personnalités politiques, Julian Assange et Alexeï Navalny, deux opposants au pouvoir victimes de tentatives d’assassinat et actuellement emprisonnés le premier dans une prison londonienne, le second dans une geôle russe. → Icitout commence du 17 août 2021 - Episode 207 Au double A, des clients se plaignent de la qualité des plats, Théo est mis en porte-à-faux. Célia et Ambre se rapprochent.

Au double A, des clients se plaignent de la qualité des plats, Théo est mis en porte-à-faux. Célia et Ambre se rapprochent. Eliott prend une grande décision malgré l’avis de Célia et aussi

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