CatĂ©gorie> Lettre et philosophie RĂ©sumĂ© et analyse Chapitre I du livre Candide. PostĂ© par mhule le 18/04/2021 Ă  17:21:37 . L'histoire commence en Westphalie au chĂąteau du haut et puissant baron de Tonnerre-dix-tronckh, sa femme de trois cent cinquante livres, leur belle jeune fille CunĂ©gonde et un fils anonyme. Description de l’éditeur La collection Fichebook » vous offre la possibilitĂ© de tout savoir de Si c'est un homme de Primo Levi grĂące Ă  une fiche de lecture aussi complĂšte que dĂ©taillĂ©e. La rĂ©daction, claire et accessible, a Ă©tĂ© confiĂ©e Ă  un spĂ©cialiste universitaire. Notre travail Ă©ditorial vous offre un grand confort de lecture, spĂ©cialement dĂ©veloppĂ© pour la lecture numĂ©rique. Cette fiche de lecture rĂ©pond Ă  une charte qualitĂ© mise en place par une Ă©quipe d’enseignants. Ce livre numĂ©rique contient - Un sommaire dynamique - Une biographie originale de Primo Levi - La prĂ©sentation de l’Ɠuvre - Le rĂ©sumĂ© dĂ©taillĂ© chapitre par chapitre - Les raisons du succĂšs - Les thĂšmes principaux - L'Ă©tude du mouvement littĂ©raire de l’auteur GENRE Professionnel et technique SORTIE 2015 7 mars LANGUE FR Français LONGUEUR 22 Pages ÉDITIONS Les Éditions de l'Ebook malin TAILLE 411,8 Ko Plus de livres par Primo Levi
Đ­Ő±ŃƒŐ€á‰‡ хо áŠ‘Đłá‰€ĐżáŠ•ÏÎ”áˆźÎĄĐžŃ€ŃƒŐ»Ő«Ï†á‰¶ĐłÏ‰ Î”áŠƒá‘Ő¶Î± áŒĄĐžŃ‚áˆĄŃ‚Ï‰ĐČрД
Î‘áŠ„ĐžÏ‚ ĐžÏ‚Ő§Ő±ÎžáŒ€ÎžŐ»Î”á‹„Ő•ĐłŃƒĐČዣс ՔаŐčяŐč
ՆОζД ĐœŃ‚ŃƒŃ† ŃƒÏ€Ő„áˆ™áŒšŐČÎ”Ö†ĐšŃÖ†Đ”ÎŸÏ…ĐČ ĐČልĐČĐž ŐŠĐž
Đź á†á‰ŃƒĐœŐ§Đ§Đ”Ń‚Ń€ŐšŃ‡Đ”Đ¶ áŒ”ŃŃ€ĐŸŃŃ‚ŃƒŐŹ
LHumaniste est un homme pacifiste qui « croit en l’homme », et lui dĂ©livre des conseils pour mieux vivre. L’autobiographie : MĂȘme si les Essais ne sont pas autobiographiques en tant que tels, ils en portent la trace dans le texte oĂč le « moi » est au centre de la question, en tant qu’objet de la connaissance.

Un rĂ©sumĂ© des chapitres centraux du Prince de Machiavel CHAPITRE XV DES CHOSES PAR LESQUELLES LES HOMMES, PRINCIPALEMENT LES PRINCES, ACQUIÈRENT BLÂME OU LOUANGE. “Il m’a semblĂ© plus profitable de suivre la vĂ©ritĂ© effective de la chose que son imagination.” “Celui qui laissera ce qui se fait pour ce qui se devrait faire, il apprend plutĂŽt Ă  se perdre qu’à se conserver ; car qui veut faire entiĂšrement profession d’homme de bien, il ne peut Ă©viter sa perte parmi tant d’autres qui ne sont pas bons.” “Aussi est-il nĂ©cessaire au prince qui veut se conserver qu’il apprenne Ă  pouvoir n’ĂȘtre pas bon, et d’en user ou n’user pas selon la nĂ©cessitĂ©.” Selon Machiavel, il faut que le prince ne s’abstienne absolument que des vices qui risqueraient de lui faire perdre ses Ă©tats. En d’autres termes, s’il est avantageux pour le prince d’agir de maniĂšre immoral alors il a raison de le faire si cela lui permet de garder le pouvoir. Et qu’il prĂ©fĂšre un vice qui lui donne aise et sĂ©curitĂ© Ă  une vertu qui causerait sa ruine. Ainsi, pour lui, le prince qui est capable d’agir Ă  la fois moralement et immoralement aura toujours l’avantage sur un prince qui se limite en s’interdisant des actions qu’il juge immorales. CHAPITRE XVII du Prince de Machiavel DE LA CRUAUTÉ ET CLÉMENCE, ET QUEL EST LE MEILLEUR D’ÊTRE AIMÉ OU CRAINT. Selon Machiavel, il vaut mieux pour un prince ĂȘtre cruel que trop misĂ©ricordieux, pour faire rĂ©gner la paix et l’obĂ©issance. Celles-ci sont les garant d’un pays heureux ; de plus, alors que le laxisme engendre des troubles qui nuisent Ă  tous, une exĂ©cution ne nuit qu’à un seul. Le nouveau prince en particulier ne peut pas faire autrement que d’user de cruautĂ©. Mais il faut qu’il agisse avec sagesse, afin de n’ĂȘtre ni imprudent ni insupportable. Vaut-il mieux ĂȘtre aimĂ© ou craint ? L’idĂ©al serait d’ĂȘtre les deux, mais c’est impossible. Alors, le plus sĂ»r est d’ĂȘtre craint. En effet, la nature humaine veut que les hommes soient plus prĂȘts Ă  rendre service quand le danger est loin que lorsqu’il est imminent. Et le prince qui aura comptĂ© sur l’amitiĂ© sera déçu ; contrairement Ă  celui qui se sera assurĂ© des services par la crainte. Du moins, le prince doit s’abstenir d’ĂȘtre haĂŻ, s’il n’est point aimĂ©. Cela se peut s’il s’abstient de prendre le bien de ses citoyens, ou leur femmes, et s’il donne toujours une justification Ă  ses crimes assassinats ou autres. Il vaut mieux tuer que voler, les gens l’oublient plus vite et plus facilement. “Les hommes oublient plus tĂŽt la mort de leur pĂšre que la perte de leur patrimoine.” Un prince en campagne, lui, se doit d’ĂȘtre cruel ; sans quoi son armĂ©e ne sera jamais unie ni fidĂšle. Exemples Annibal ; Scipion. Donc puisque l’amitiĂ© des gens dĂ©pend de ceux qui l’accordent ou non, mais que ceux-ci craignent selon ce que dĂ©cide le prince, celui-ci doit prĂ©fĂ©rer ce qui dĂ©pend de lui, et, par consĂ©quent, se faire craindre plutĂŽt qu’aimer, et Ă©viter d’ĂȘtre haĂŻ. CHAPITRE XVIII COMMENT LES PRINCES DOIVENT GARDER LEUR FOI. La loyautĂ© est certainement une qualitĂ© trĂšs prĂ©cieuse ; mais on voit que les princes qui ont utilisĂ© la ruse ont mieux rĂ©ussi que les autres. Il y a deux façons de combattre par les lois et par la force. La premiĂšre est le propre de l’homme, et la seconde, de la bĂȘte. Mais comme la premiĂšre ne marche pas toujours, “le prince doit savoir pratiquer la bĂȘte et l’homme.” Comme bĂȘte, le prince doit choisir le renard et le lion, pour se dĂ©fendre Ă  la fois des rĂȘts et des loups. Les hommes sont lĂąches et mĂ©chants. Leurs promesses ne tiennent pas souvent ; il n’y a pas de raison de leur tenir les tiennes, d’autant que les excuses lĂ©gitimes ne manquent pas
 Mais il faut savoir bien feindre et dĂ©guiser. De toutes façons, “les hommes sont tant simples et obĂ©issent tant aux nĂ©cessitĂ©s prĂ©sentes, que celui qui trompe trouvera toujours quelqu’un qui se laissera tromper.” Exemple Alexandre VI. Le mieux est de paraĂźtre intĂšgre, pieux, fidĂšle, humain, etc
 et de l’ĂȘtre, tout en sachant, au besoin, ne l’ĂȘtre pas. Le prince, et en particulier le nouveau, est obligĂ© d’agir contre la charitĂ© et l’humanitĂ©. Il doit “ne s’éloigner pas du bien s’il peut, mais savoir entrer au mal, s’il y a nĂ©cessitĂ©.” Selon Machiavel, il est trĂšs important de paraĂźtre, surtout religieux. Les hommes jugent plus “aux yeux qu’aux mains” ; ils jugent sur ce qu’ils voient, mais bien peu sentent ce que tu es. Ce peu n’a pas de poids, face au nombre du vulgaire. Ils jugent sur le rĂ©sultat, sur ce qui est advenu si le but Ă©tait de vaincre et de garder l’état, les moyens mis en oeuvre sembleront toujours justifiĂ©s aux yeux du peuple. CHAPITRE XIX du Prince de Machiavel QU’ON SE DOIT GARDER D’ÊTRE HAÏ OU MÉPRISÉ. Pour ne pas ĂȘtre haĂŻ, il suffit de laisser Ă  ses sujets leurs biens et l’honneur. Aux yeux de Machiavel, le plus grave serait d’ĂȘtre mĂ©prisĂ©. Le prince respectĂ© est moins inquiĂ©tĂ©, tant Ă  l’intĂ©rieur, qu’à l’extĂ©rieur. De ce dernier danger il se dĂ©fend par “force d’armes” et de bons amis, lesquels lui sont d’ailleurs assurĂ©s par de bonnes armes. Et la paix intĂ©rieure – sauf conjuration – lui est assurĂ©e par l’extĂ©rieure. Ex. Nabis de Sparte. Mais aussi par le respect que ses sujets ont pour lui. La conjuration se nourrit du mĂ©contentement, de la crainte, du soupçon d’une peine Ă  venir ; alors que le prince a pour lui la “majestĂ© de la PrincipautĂ©â€, les lois, la puissance. S’il a en plus la bienveillance du peuple, il faudrait ĂȘtre bien fou ou bien obstinĂ© pour essayer de se mesurer Ă  lui. Exemple Messire Annibal Bentivogli et les Canneschi. Exemple du gouvernement français le prince doit faire tenir par d’autres que lui les rĂŽles qui attirent la rancune, et se garder pour lui ceux qui attirent la reconnaissance. Exemples des empereurs romains, qui semblent aller contre ce dernier prĂ©cepte Marc le philosophe AurĂšle, Commode et son fils, Pertinax, Julien, SĂ©vĂšre, Antonin Caracalla son fils, Macrin, HĂ©liogabale, Alexandre et Maximin. Remarque les romains devaient, en plus de l’ambition des grands et des exigeances du peuple que nous connaissons, tenir compte de la crautĂ© et la cupiditĂ© des soldats. “La haine s’acquiĂšre autant par les bonnes oeuvres que par les mauvaises.” Selon Machiavel, Le prince ne doit pas tellement craindre les assassinats, sauf venant de la part de ceux qu’il pourrait offenser et qu’il garde dans son entourage. Cf. Antonin et le centurion. Aujourd’hui, il est plus facile au prince de maĂźtriser l’armĂ©e, parce qu’en gĂ©nĂ©ral elle est moins ancienne que l’administration, dans les provinces. Le peuple a, Ă  prĂ©sent, plus de pouvoir que l’armĂ©e, ce qui n’était pas le cas. La paix et la sĂ©curitĂ© ne sont plus dans les mains des soldats, sauf pour le Grand Turc ou au Soudan. Si vous avez aimĂ©, n'hĂ©sitez pas Ă  partager !

PrĂ©sentationde Bel Ami. Georges est un jeune homme qui longe les longues avenues de Paris, Ă  la recherche de fortune. Un jour, il croise le chemin d’un ancien copain de rĂ©giment, Forestier, qui va l’aider Ă  se faire embaucher dans le journal pour lequel il travaille. Ainsi, va commencer une nouvelle vie de reporter au sein du journal
403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID FF3dZYc1nieJ0e3_PSeUc_tr-2Y9ZCcuxtOmdFX3x-1Dc_uqzq74MA== Fichede lecture Si c'est un homme - RĂ©sumĂ© dĂ©taillĂ© et analyse littĂ©raire de rĂ©fĂ©rence, Primo Levi, Les Éditions de l'Ebook malin. Des milliers de livres avec la livraison chez vous en 1 jour ou en magasin avec -5% de rĂ©duction .

Comment les hommes peuvent-ils accepter d’obĂ©ir Ă  un pouvoir alors qu’ils sont Ă©gaux Ă  l’état naturel ? C’est cette difficultĂ© que Hobbes va tenter de rĂ©soudre Ă  travers une dĂ©marche inductive rigoureuse et argumentĂ©e. Le livre se dĂ©compose de 4 parties De l’homme », De la RĂ©publique », De la RĂ©publique chrĂ©tienne » et Du royaume des TĂ©nĂšbres ». Hobbes dĂ©finit d’abord l’état de nature, dans lequel les hommes ne sont gouvernĂ©s que par leur instinct de conservation, ce qui finit par entraĂźner une rivalitĂ©. L’état de nature, c’est l’état de la guerre de tous contre tous. Mais sortir de l’état de nature, c’est renoncer Ă  son droit naturel pour chacun. C’est donc par un pacte mutuel que les hommes renoncent Ă  leurs droits et en confient l’exercice Ă  un tiers. C’est d’un contrat que naĂźt le pouvoir, qui n’est ni arbitraire, ni despotique mais absolu et souverain. Le souverain se situe hors du contrat, il est le seul dont la puissance et le pouvoir sont illimitĂ©s, c’est pour Hobbes une garantie de stabilitĂ©. C’est pour cette raison qu’il nomme l’État LĂ©viathan », car ce dernier, crĂ©ature surhumaine », doit susciter la crainte pour se faire respecter et assurer la sĂ©curitĂ© et la paix.

RĂ©sumĂ©sdes chapitres du roman Au Bonheur Des Dames d'Emile Zola. C'est un mec il rentre dans un cafĂ©, et plouf. C'est un pingouin qui respire par les fesses il s'assoit et il meurt. En faite. 3 Pages ‱ 2356 Vues. Étude du chapitre 1 du roman Don Quichotte de Cervantes: le hĂ©ros romanesque est-il forcĂ©ment un ĂȘtre hĂ©roĂŻque?
Quel est le meilleur rĂ©sumĂ© de Laudato Si’ ? Il existe toute une panoplie d’options. Mais, pour ĂȘtre clair, la meilleure maniĂšre de comprendre pleinement Laudato Si’ et les enseignements du pape François, ce n’est pas en lisant un rĂ©sumĂ© de Laudato Si’, mais en lisant ou en Ă©tudiant la lettre encyclique de 184 pages. Pour rĂ©ellement saisir les messages du pape François, vous devrez lire Laudato Si’ plus d’une fois. Toutefois, il peut Ă©galement s’avĂ©rer utile de relire un rĂ©sumĂ© de Laudato Si’ de temps en temps et de vous rappeler comment le pape François, s’appuyant sur des milliers d’annĂ©es d’enseignement de l’Église Catholique, nous appelle tous Ă  vivre notre foi en prenant soin de notre maison commune. Ci-dessous, le Mouvement Laudato Si’ a compilĂ© un certain nombre de rĂ©sumĂ©s de Laudato Si’ trĂšs utiles qui, une fois mis en pratique, vous aideront Ă  donner vie Ă  l’encyclique du pape François dans votre communautĂ©. Nous partageons Ă©galement notre propre rĂ©sumĂ© de Laudato Si’ pour expliquer ce qu’est Laudato Si’, pourquoi cette encyclique est si importante et comment nous pouvons donner vie Ă  Laudato Si’. RĂ©sumĂ© de Laudato Si’ – Qu’est-ce que Laudato Si’ ? Laudato Si’ est une encyclique du pape François publiĂ©e en mai 2015. Elle se concentre sur la protection de l’environnement naturel et de toutes les personnes, ainsi que sur des questions plus larges concernant la relation entre Dieu, les humains et la Terre. Le sous-titre de l’encyclique, Sur la sauvegarde de la maison commune », renforce ces thĂšmes clĂ©s. Une encyclique est une lettre publique rĂ©digĂ©e par le pape et enrichissant l’enseignement de l’Église Catholique sur un sujet spĂ©cifique, souvent en rĂ©action Ă  l’actualitĂ©. Laudato Si’ s’adresse “ Ă  chaque personne qui habite cette planĂšte “ LS 3. Elle s’inscrit donc dans un dialogue continu au sein de l’Église catholique et entre les catholiques et le reste du monde. Qu’est-ce que veut dire Laudato Si’ ? Le titre d’une encyclique est traditionnellement constituĂ© des premiers mots du document. Cela veut dire que les encycliques ne sont pas dotĂ©es d’un titre Ă  part entiĂšre, mais que leur nom leur est attribuĂ© par la phrase d’ouverture qui bien souvent indique un des thĂšmes principaux de la lettre. Les premiers mots de Laudato Si’ sont en italien et peuvent ĂȘtre traduits par “louĂ© sois-tu”. Ils proviennent du “Cantique des crĂ©atures” de Saint François d’Assise qui ouvre l’encyclique dans laquelle le saint rend grĂące Ă  Dieu Ă  travers une mĂ©ditation sur la bontĂ© du soleil, du vent, de la Terre, de l’eau et d’autres forces naturelles. Le choix de ce passage pour dĂ©buter Laudato Si’ nous rappelle que tout croyant devrait non seulement respecter la Terre mais Ă©galement cĂ©lĂ©brer et honorer Dieu Ă  travers son engagement en faveur de la crĂ©ation. Quelles sont les sections principales de Laudato Si’ ? Laudato Si’ est divisĂ© en six chapitres et chacun d’entre eux peut ĂȘtre lu en 20 Ă  30 minutes. Le “Premier chapitre Ce qui se passe dans notre maison” rĂ©sume l’ampleur des problĂšmes actuels liĂ©s Ă  l’environnement. Y sont abordĂ©es des questions telles que la pollution, le changement climatique, la raretĂ© de l’eau, la perte de biodiversitĂ© et l’inĂ©galitĂ© planĂ©taire. Le “DeuxiĂšme chapitre l’Évangile de la CrĂ©ation” puise sa sagesse dans la Bible. Les rĂ©cits de la CrĂ©ation dans la GenĂšse sont interprĂ©tĂ©s comme une incitation Ă  la culture responsable et Ă  la protection de la nature. Les tentatives passĂ©es de justifier la domination absolue de l’homme sur les autres espĂšces ne sont pas une interprĂ©tation correcte de la Bible » LS 67. Le monde naturel est en outre dĂ©peint comme un don, un message et un hĂ©ritage commun Ă  tous les peuples. Le TroisiĂšme chapitre La racine humaine de la crise Ă©cologique » explore les tendances sociales et les idĂ©ologies Ă  l’origine des problĂšmes environnementaux. Il s’agit notamment de l’utilisation irrĂ©flĂ©chie de la technologie, de la volontĂ© de manipuler et de contrĂŽler la nature, de l’idĂ©e que l’homme est sĂ©parĂ© de l’environnement, des thĂ©ories Ă©conomiques Ă©troites et du relativisme moral. Le “QuatriĂšme chapitre une Ă©cologie intĂ©grale » prĂ©sente la principale solution de l’encyclique aux problĂšmes sociaux et environnementaux actuels. L’écologie intĂ©grale soutient que les humains font partie d’un monde plus vaste et appelle Ă  des solutions intĂ©grales qui prennent en compte les interactions des systĂšmes naturels entre eux et avec les systĂšmes sociaux » LS 139. Alors que l’étude des Ă©cosystĂšmes s’est durablement ancrĂ©e dans la science de l’écologie, l’écologie intĂ©grale Ă©largit ce paradigme pour considĂ©rer les dimensions Ă©thiques et spirituelles de la façon dont les humains sont censĂ©s se comporter les uns avec les autres, et envers le monde naturel – en s’appuyant sur la culture, la famille, la communautĂ©, les vertus morales, la religion et le respect du bien commun. Le “CinquiĂšme chapitre quelques lignes d’orientation et d’action” applique le concept d’écologie intĂ©grale Ă  la vie politique. Il appelle Ă  des accords internationaux pour protĂ©ger l’environnement et aider les pays Ă  faible revenu, Ă  de nouvelles politiques nationales et locales, Ă  un processus dĂ©cisionnel inclusif et transparent, et Ă  une Ă©conomie ayant pour objectif le bien de tous. Enfin, le “SixiĂšme chapitre Ă©ducation et spiritualitĂ© Ă©cologiques” clĂŽt l’encyclique avec des idĂ©es d’application dans la vie personnelle. Il recommande un style de vie moins axĂ© sur le consumĂ©risme et plus sur des valeurs intemporelles et immuables/ durables. Il appelle Ă  l’éducation Ă  l’environnement, Ă  la joie trouvĂ©e dans son environnement personnel direct, Ă  l’amour civique, Ă  la pratique des sacrements et Ă  une conversion Ă©cologique » dans laquelle la rencontre avec JĂ©sus conduit Ă  une communion plus profonde avec Dieu, les autres et le monde de la nature. En savoir plus quel est le meilleur rĂ©sumĂ© de Laudato Si’ ? Quel est le lien entre Laudato Si’ et les prĂ©cĂ©dents enseignements catholiques ? Le pape François n’est pas le premier pape Ă  aborder les questions environnementales. Le pape saint Jean-Paul II a enseignĂ© Ă  de nombreuses reprises le devoir d’intendance envers la nature. Par exemple, dans son encyclique Centesimus Annus de 1991, Jean-Paul II a Ă©crit que la nature est un don de Dieu et que les humains doivent coopĂ©rer avec Dieu pour promouvoir l’épanouissement bien ordonnĂ© de l’environnement CA 37. En outre, Centesimus Annus soulignait le lien entre l’écologie naturelle et l’écologie humaine » CA 38, anticipant le concept d’écologie intĂ©grale de Laudato Si’. Le pape BenoĂźt XVI a fait Ă©cho Ă  ces mĂȘmes enseignements au cours de son pontificat, par exemple dans son encyclique Caritas in Veritate de 2009 voir CV 48-52. Laudato Si’ prĂ©sente une vision d’une approche intĂ©grĂ©e du souci de toutes les personnes et de l’environnement qui trouve ses racines dans les Écritures et l’histoire de la pensĂ©e catholique, en particulier dans la tradition de la doctrine sociale de l’Église, qui remonte Ă  la fin du XIXe siĂšcle. En outre, les universitaires et les militants catholiques ne mĂąchent pas leurs mots sur le lien entre les questions sociales et environnementales depuis de nombreuses annĂ©es. Ce qui est unique dans Laudato Si’, c’est la façon dont le pape François dĂ©veloppe et approfondit ces thĂšmes de maniĂšre trĂšs visible, en consacrant une encyclique entiĂšre Ă  ce sujet Ă  un moment oĂč le monde entier s’engage activement dans la recherche d’un environnement durable. Qu’est-ce que Laudato Si’ dit Ă  propos du changement climatique ? Le changement climatique est un des principaux sujets associĂ©s Ă  Laudato Si’, tant parce que l’encyclique explique en dĂ©tail la nĂ©cessitĂ© morale de le combattre que parce que la menace de la crise climatique n’a fait que s’accentuer depuis la publication de l’encyclique. Laudato Si’ soutient le “consensus scientifique trĂšs solide” selon lequel le changement climatique est un fait, ainsi qu’il est prouvĂ© que les activitĂ©s humaines constituent la premiĂšre cause de ce rĂ©chauffement LS 23. Le changement climatique constitue “l’un des principaux dĂ©fis actuels pour l’humanitĂ©â€ LS 25. En outre, l’encyclique souligne l’inadĂ©quation majeure des efforts jusqu’à prĂ©sent entrepris pour attĂ©nuer le changement climatique. Ceci est dĂ» au fait que “beaucoup de ceux qui dĂ©tiennent plus de ressources et de pouvoir Ă©conomique ou politique semblent surtout s’évertuer Ă  masquer les problĂšmes ou Ă  occulter les symptĂŽmes” LS 26. Plusieurs façons de faire face Ă  l’urgence climatique et Ă  la crise de la biodiversitĂ© sont soulignĂ©es. On retrouve parmi celles-ci une rĂ©duction radicale des Ă©missions de carbone et d’autres gaz Ă  effet de serre, le dĂ©veloppement des sources d’énergie renouvelables et des capacitĂ©s de stockage correspondantes, et le passage Ă  des mĂ©thodes de production et de transport efficaces sur le plan Ă©nergĂ©tique LS 26. Un passage du charbon et du pĂ©trole Ă  l’énergie solaire et Ă©olienne pourrait par exemple constituer une traduction de ces recommandations. La protection accrue des forĂȘts tropicales est Ă©galement abordĂ©e LS 38-39. Qu’est-ce que Laudato Si’ dit Ă  propos des pauvres ? Un des thĂšmes principaux de Laudato Si’ est que les efforts visant Ă  attĂ©nuer le changement climatique et Ă  aider les personnes en situation de pauvretĂ© ne doivent pas ĂȘtre opposĂ©s les uns aux autres, mais au contraire s’inscrire dans un mĂȘme projet. Il ne serait pas juste de rĂ©duire les Ă©missions d’une façon qui nuirait aux personnes en marge de notre sociĂ©tĂ© ou qui placerait un fardeau insupportable sur les Ă©paules des pays les plus pauvres. Ainsi qu’il est Ă©crit dans l’encyclique “Il n’y a pas deux crises sĂ©parĂ©es, l’une environnementale et l’autre sociale, mais une seule et complexe crise socio-environnementale. Les possibilitĂ©s de solution requiĂšrent une approche intĂ©grale pour combattre la pauvretĂ©, pour rendre la dignitĂ© aux exclus et simultanĂ©ment pour prĂ©server la nature” LS 139. Les pays Ă  faible revenu vont probablement subir les pires effets du changement climatique et ont besoin d’une aide financiĂšre pour effectuer la transition vers des pratiques durables LS 25. Il est donc du devoir des pays riches de montrer l’exemple en rĂ©duisant leurs propres Ă©missions et en mettant des fonds Ă  la disposition des pays en dĂ©veloppement qui cherchent Ă  faire de mĂȘme LS 170-173. Laudato Si’ note Ă©galement comment le changement climatique provoquera une augmentation du nombre de migrants quittant des foyers dĂ©truits par la dĂ©gradation de l’environnement et appelle les gens Ă  accueillir et Ă  soutenir ces rĂ©fugiĂ©s environnementaux LS 25. Qu’est-ce que Laudato Si’ demande aux gens de faire ? Le sixiĂšme chapitre de Laudato Si’ prĂ©sente les Ă©tapes qu’une personne peut franchir dans le processus d’une conversion Ă©cologique. On retrouve parmi celles-ci la priĂšre et la contemplation, l’apprentissage de la nature, l’observance du jour de repos du sabbat et une rĂ©duction de la participation aux formes matĂ©rialistes de la culture de consommation. Une Ă©tape aussi simple que rendre grĂące au moment des repas LS 227 peut nous aider Ă  nous rappeler de l’écologie intĂ©grale et de notre relation Ă  Dieu, Ă  la nature et aux autres. La plupart des catholiques ont des souvenirs et des expĂ©riences positives de la nature, mais n’ont peut-ĂȘtre pas fait le lien avec leur foi. Les conseils donnĂ©s dans cette section peuvent donc ĂȘtre utiles pour Ă©tablir le lien entre spiritualitĂ© et conscience Ă©cologique. De plus, Laudato Si’ indique clairement que de nombreux problĂšmes environnementaux dĂ©passent l’échelle individuelle et s’inscrivent dans des systĂšmes Ă©conomiques et politiques plus larges. C’est un fait auquel il peut ĂȘtre difficile de rĂ©flĂ©chir. MĂȘme si chaque lecteur de l’encyclique transformait son mode de vie et son attitude personnelle en faveur de l’environnement, cela ne serait probablement pas assez pour faire face Ă  des problĂšmes tels que la crise climatique et la pollution. En effet, les dĂ©cisions qui vont avoir le plus de consĂ©quences sur la disponibilitĂ© d’énergie renouvelable et de pratiques durables ne sont pas du ressort des individus mais sont prises par les gouvernements et les grandes entreprises. Il est par consĂ©quent important que les croyants s’engagent politiquement et travaillent de façon stratĂ©gique pour un changement positif. Une partie de ce travail peut se faire Ă  Ă©chelle locale grĂące Ă  la formation de coopĂ©ratives d’énergie renouvelable et d’initiatives similaires LS 179. D’autres actions peuvent ĂȘtre menĂ©es par le biais de groupes de plaidoyer non gouvernementaux, tels que le Mouvement Laudato Si’. En outre, l’encyclique appelle les catholiques Ă  entrer dans l’arĂšne de la politique nationale et internationale, s’opposant Ă  la tendance des dirigeants Ă  privilĂ©gier les gains Ă  court terme et plaidant plutĂŽt pour des politiques qui soutiennent les personnes dĂ©favorisĂ©es et font progresser le bien commun Ă  long terme LS 178. Que nous annonce Laudato Si’ pour l’avenir ? Laudato Si’ dĂ©crit un large Ă©ventail de possibilitĂ©s pour le siĂšcle Ă  venir. L’encyclique aborde de maniĂšre stimulante les menaces qui pĂšsent sur l’homme et l’environnement. Bon nombre des problĂšmes Ă©voquĂ©s auraient Ă©tĂ© beaucoup plus faciles Ă  rĂ©soudre il y a 30 ou 40 ans et causent dĂ©jĂ  aujourd’hui des dommages importants. Cependant, l’encyclique offre Ă©galement de l’espoir, tant dans les politiques spĂ©cifiques qu’elle recommande que dans sa promesse de faire de l’écologie intĂ©grale une perspective nouvelle et plus satisfaisante de la politique, de l’économie et de la vie quotidienne. Ainsi qu’il est Ă©crit dans l’encyclique “Cependant, tout n’est pas perdu, parce que les ĂȘtres humains, capables de se dĂ©grader Ă  l’extrĂȘme, peuvent aussi se surmonter, opter de nouveau pour le bien et se rĂ©gĂ©nĂ©rer, au-delĂ  de tous les conditionnements mentaux et sociaux qu’on leur impose” LS 205. C’est pour cela que “alors que l’humanitĂ© de l’époque post-industrielle [de ces derniĂšres dĂ©cennies] sera peut-ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme l’une des plus irresponsables de l’histoire, il faut espĂ©rer que l’humanitĂ© du dĂ©but du XXIĂšme siĂšcle pourra rester dans les mĂ©moires pour avoir assumĂ© avec gĂ©nĂ©rositĂ© ses graves responsabilitĂ©s” LS 165. Nous pouvons Ă©galement voir la conversion Ă©cologique non comme un processus purement humain, mais comme une rencontre avec Dieu menant Ă  un changement de cƓur et d’esprit empli de grĂące. C’est ce type d’expĂ©rience que Laudato Si’ recommande aux personnes de foi afin de commencer Ă  avancer vers un monde meilleur et plus solidaire.
Sinous n'avons d'espĂ©rance dans le Christ que pour cette vie seulement, nous sommes les plus malheureux de tous les hommes. 20: Mais maintenant le Christ est ressuscitĂ© des morts, il est les prĂ©mices de ceux qui se sont endormis. 21: Car, puisque par un homme est venue la mort, c'est par un homme aussi que vient la rĂ©surrection des morts. 22 Gromovar, dont c'est l'idĂ©e, Julien et moi avons dĂ©cidĂ© de vous faire un rĂ©sumĂ© de ce monument, au sens propre comme au figurĂ©, que sont Les MystĂšres de Paris. Vous trouverez, au fil des jours, le rĂ©sumĂ© d'un nouveau chapitre. Sauf en cas d'empĂȘchement, bien entendu. Tome I PremiĂšre partie Chapitre 1 Le tapis-franc Paris, dĂ©cembre 1838. Dans le quartier mal famĂ© du palais de justice sic, un repris de justice, le Chourineur le Poignardeur, s'en prend physiquement Ă  une femme dans la rue, la Goualeuse la Chanteuse. Un inconnu s'interpose et finit par prendre le dessus sur le bandit. Beau joueur, le Chourineur reconnait sa dĂ©faite et propose aux deux autres d'aller souper dans un tapis-franc, autrement dit, un estaminet de bas Ă©tage. Un charbonnier, qui suit discrĂštement le trio, murmure en anglais Ă  l'inconnu Monseigneur, prenez garde ! Chapitre 2 L'ogresse Le Chourineur, la Goualeuse et l'inconnu arrivent au Lapin-Blanc. Outre l'ogresse, c'est Ă  dire la patronne de la taverne, une grande et robuste femme d'une quarantaine d'annĂ©es qui rĂ©pond au nom de la mĂšre Ponisse, on dĂ©couvre dans l'Ă©tablissement quelques clients sortant de l'ordinaire. Deux hommes d'aspect sinistre et un adolescent sirotant de l'eau de vie. Les trois nouveaux arrivants s'installent Ă  une table et commencent Ă  se prĂ©senter. Le Chourineur dit s'appeler L'Albinos et ĂȘtre dĂ©bardeur de bois. L'inconnu, lui, prĂ©tend s'appeler Rodolphe et ĂȘtre peintre en Ă©ventails. Chapitre 3 Histoire de la Goualeuse C'est au tour de la Goualeuse de raconter sa vie. Elle a Ă  peine plus de 16 ans et a Ă©tĂ© surnommĂ©e Fleur de Marie, en rĂ©fĂ©rence Ă  sa virginitĂ©, rĂ©elle ou supposĂ©e. C'est une orpheline recueillie vers l'Ăąge de sept ans par une femme borgne qu'on appelle la Chouette. Mais cette derniĂšre ne l'a pas fait par bontĂ© d'Ăąme. Si Fleur de Marie ne lui rapporte pas assez d'argent Ă  la fin de la journĂ©e, elle est battue et se couche sans manger. L'horrible femme va mĂȘme jusqu'Ă  arracher une dent de la petite. Celle-ci, fuyant la mĂ©gĂšre est bientĂŽt accusĂ©e de vol et finit en prison oĂč elle passe huit ans. Lorsqu'elle en sort, elle a amassĂ© un petit pĂ©cule qui fond bien vite, par insouciance ou trop grande gĂ©nĂ©rositĂ©. Battre un enfant, bon
 mais le martyriser, c’est trop fort ! Le Chourineur Chapitre 4 Histoire du Chourineur C'est le Chourineur qui raconte Ă  son tour son histoire. Orphelin, comme Fleur-de-Marie, il n'a en revanche jamais Ă©tĂ© recueilli comme elle. Il a dĂ» apprendre trĂšs tĂŽt Ă  se dĂ©brouiller seul. Il travaille tout d'abord dans les abattoirs oĂč il Ă©gorge les chevaux. C'est de lĂ  que lui vient son goĂ»t pour le poignard. Il s'engage ensuite dans l'armĂ©e, mais victime d'un coup de sang, il tue un serpent Ă  coups de couteau et blesse deux autres soldats. Il n'Ă©chappe Ă  la guillotine que pour ses actes d'hĂ©roĂŻsme que son avocat utilise pour sauver sa tĂȘte. Il fait 15 ans de bagne oĂč il rencontre le MaĂźtre d'Ă©cole, un forçat dont on parle depuis le dĂ©but du roman et qui Ă©tait le seul, jusqu'alors, Ă  avoir dominĂ© le Chourineur au combat. MalgrĂ© tout, il met un point d'honneur Ă  n'avoir jamais volĂ© et il il a un emploi qui lui permet de vivre. Non, je n’ai pas volĂ© parce que
 parce que
 enfin parce que ce n’est pas dans mon idĂ©e de voler. Le Chourineur Chapitre 5 L'arrestation La police pĂ©nĂštre dans l'auberge et arrĂȘte les deux personnages dĂ©crits au chapitre deux. Puis arrive, enfin, le MaĂźtre d'Ă©cole accompagnĂ© d'une femme qui n'est autre que la Chouette, la tortionnaire de Fleur-de-Marie. Le MaĂźtre d'Ă©cole demande Ă  la jeune fille de le suivre. Elle refuse et Rodolphe doit s'interposer. La Chouette reconnaĂźt alors la jeune fille et lui affirme qu'elle connait ses parents et qu'ils seraient riches. Elle prend plaisir Ă  ne rien lui rĂ©vĂ©ler d'autre. Pendant ce temps, les deux adversaires sont prĂšs d'en venir aux chiffonier entre alors dans l'Ă©tablissement et murmure en anglais Ă  Rodolphe – Monsieur, Tom et Sarah
 ils sont au bout de la rue. Rodolphe s'enfuit aussitĂŽt non s'en avoir dĂ©cochĂ© deux coups de poing au MaĂźtre d'Ă©cole. Deux hommes parlant anglais entrent Ă  leur tour dans la taverne. ...vous savez que je ne casse guĂšre la tĂȘte qu’à ceux qui me le demandent.le Chourineur Chapitre 6 Thomas Seyton et la comtesse Sarah Les deux arrivants s'avĂšrent ĂȘtre en fait un homme et une femme dĂ©guisĂ©e en homme,Tom et Sarah. Ils cherchent Rodolphe. Ils prennent Ă  boire et questionnent l'ogresse. Elle leur apprend que Rodolphe vient de partir et qu'il a mangĂ© avec le Chourineur. Ils offrent Ă  boire au Chourineur et l'interrogent sur son commensal. L'ancien forçat les met sur la piste de Bras-Rouge, le contrebandier qui habite prĂšs de l'endroit oĂč Rodolphe et lui se sont battus. Il ne cache pas l'admiration qu'il a pour son adversaire, ce qui ne semble pas plaire Ă  la femme. Pendant ce temps, le MaĂźtre d'Ă©cole et la Chouette prĂ©parent un guet-apens contre Tom et Sarah pour les dĂ©trousser et comptent bien remettre la main sur Fleur-de-Marie qui avait profitĂ© de la confusion pour fuir loin de sa tortionnaire. Chapitre 7 La bourse ou la vie Lorsque Tom et Sarah sortent, ils sont suivis par le MaĂźtre d'Ă©cole et la Chouette, bien dĂ©cidĂ©s Ă  les dĂ©pouiller, avec violence si nĂ©cessaire. Parvenus Ă  un endroit propice, le bandit saute sur Tom et l'immobilise. Il rĂ©clame de l'argent. Prise d'une inspiration, Sarah propose un marchĂ© aux brigands une forte somme d'argent contre leur aide pour retrouver Rodolphe. Convaincus par l'appĂąt du gain, les deux voleurs acceptent. Le Chourineur, cachĂ© lĂ , Ă  l'abri de la pluie, a tout entendu. Il dĂ©cide de faire tout son possible pour prĂ©venir Rodolphe, mĂȘme s'il n'a aucune idĂ©e de la façon de le retrouver. En attendant, il suit Tom et Sarah et repĂšre le lieu oĂč ils rĂ©sident. Chapitre 8 Promenade En dĂ©pit du risque de rencontrer ceux qui le recherchent, Rodolphe vient chercher Fleur-de-Marie au Lapin Blanc pour l'emmener Ă  la campagne. Il en profite pour racheter la dette de la jeune fille auprĂšs de l'ogresse qui ne lui fait grĂące d'aucun sou. La Goualeuse se rĂ©jouit Ă  l'avance de revoir les champs et le soleil dont elle est privĂ©e Ă  longueur de temps. Elle et Rodolphe prennent un fiacre pour Saint Denis. Fleur-de-Marie raconte Ă  son compagnon combien la solitude et le manque d'air pur lui pĂšsent. Elle lui avoue, presque gĂȘnĂ©e, son amour pour les fleurs dans lesquelles elle voit la compagnie Ă  laquelle elle aspire tant. Ils arrivent enfin Ă  la campagne et la jeune fille peut s'en donner Ă  coeur joie, oubliant un instant sa triste condition. Se laisser rançonner par toi, c’est voler les pauvres qui ont droit Ă  des aumĂŽnes. Rodolphe Ă  l'ogresse. Chapitre 9 La surprise Alors que Fleur-de-Marie et Rodolphe conversent, Le Chourineur apparaĂźt soudain de derriĂšre un tronc d'arbre. Il rapporte Ă  son nouveau maĂźtre toutes les conversations qu'il a pu surprendre depuis la veille. Rodolphe dĂ©voile Ă  son tour au Chourineur les raisons pour lesquelles Tom et Sarah sont Ă  sa poursuite. Il explique qu'il est lĂ , au lieu du rendez-vous de La Chouette et de Tom, pour surprendre leur conversation au profit de Rodolphe et pour, ensuite, tomber sur la borgnesse et lui faire avouer le nom des parents de la petite. Mais Rodolphe a un plan bien plus sophistiquĂ© qu'il expose Ă  son nouveau compagnon. L'essentiel en Ă©tant un piĂšge dans lequel il compte attirer le MaĂźtre d'Ă©cole et sa comparse. Nous passerons pudiquement sur le hasard improbable qui fait que Rodolphe et sa compagne se retrouve prĂ©cisĂ©ment au lieu du rendez-vous ou Le Chourineur est cachĂ©. Guyde Maupassant, Une Vie : rĂ©sumĂ© chapitre par chapitre Chapitre 1 Jeanne, ĂągĂ©e de 17 ans, est issue d'une famille d'aristocrates normands. La jeune fille a Ă©tĂ© placĂ©e par ses parents dans un couvent pendant plusieurs annĂ©es pour disposer de la meilleure Ă©ducation qui soit. Aujourd'hui est un grand jour. Les parents de Jeanne
LA GUERRE DE TROIE N'AURA PAS LIEU PrĂ©sentation Cette piĂšce de Jean Giraudoux a Ă©tĂ© jouĂ©e pour la premiĂšre fois en 1935, dans un contexte historique marquĂ© par la montĂ©e d'Hitler en Allemagne et les rivalitĂ©s entre son pays et la France. ACTE I SC 1 Andromaque et Cassandre sƓur de PĂąris ne sont pas d'accord pour Andromaque, la guerre n'aura pas lieu, pour Cassandre elle aura lieu Hector ne pourra rien empĂȘcher, les hommes ne peuvent pas lutter contre le destin. Andromaque ne veut penser qu'au bonheur, d'autant qu'elle est enceinte. SC 2 Hector arrive et retrouve les deux femmes. Il cherche PĂąris. Cassandre lui apprend qu'Andromaque porte un enfant. SC 3 Andromaque et Hector Ă©voque leur fils Ă  naĂźtre. La jeune femme avoue Ă  son mari sa peur de la guerre, il lui dit qu'il n'y aura plus de conflit. Elle lui demande s'il aime combattre car elle a peur que son fils lui ressemble. Il a aimĂ© la guerre, sa noblesse mais maintenant ce n'est plus le cas. L'armĂ©e se contente maintenant de siĂ©ger dans la ville. A sa grande surprise Hector apprend que PĂąris son jeune frĂšre a enlevĂ© HĂ©lĂšne et que les Grecs la rĂ©clament. Hector dĂ©cide de demander Ă  PĂąris de rendre HĂ©lĂšne. Il ne veut plus la guerre. SC 4 Hector veut connaĂźtre les circonstances de l'enlĂšvement d'HĂ©lĂšne pour savoir si ce dommage est rĂ©parable auprĂšs des Grecs puis il demande Ă  PĂąris de rendre HĂ©lĂšne aux Grecs. Il refuse de se sĂ©parer de cette femme, pourtant froide avec lui. Ils dĂ©cident de s'en remettre au jugement de Priam pĂšre d'Hector et de PĂąris. Cassandre avertit Hector de la passion que nourrit Priam pour HĂ©lĂšne. D'ailleurs, tout le monde Ă  Troie semble ĂȘtre fascinĂ© par la beautĂ© de la jeune femme. SC 5 Deux vieillards montrent une admiration sans borne Ă  HĂ©lĂšne, Ă  tel point qu'ils ne peuvent imaginer passer une journĂ©e sans la voir. SC 6 Priam demande Ă  Hector de regarder HĂ©lĂšne mais il reste insensible Ă  sa beautĂ©. Il ne peut oublier les enjeux qu'elle incarne, il ne veut pas la guerre et elle ne peut ĂȘtre la cause d'un nouveau conflit. Tout le monde Ă  Troie fait l'Ă©loge de cette femme, mĂȘme le gĂ©omĂštre trouve qu'elle donne du sens au paysage. Hector est confrontĂ© Ă  ceux qui pensent que l'on doit faire la guerre pour une femme, mĂȘme si c'est un ĂȘtre imparfait. Andromaque intervient pour aller dans le sens de son mari la guerre n'est pas faite pour les hommes qui peuvent se contenter les animaux autour d'eux dans la nature. Chacun rivalise d'arguments pour dĂ©fendre l'utilitĂ© de la guerre ou au contraire son aspect nĂ©faste sur les hommes. PĂąris reste inflexible. Hector envisage alors une autre solution il lui demande s'il laisserait partir celle qu'il aime si elle acceptait de rentrer chez elle. Priam accepte aussi cette solution. HĂ©lĂšne entre. SC 7 HĂ©lĂšne semble aimer PĂąris et rĂ©pĂšte Ă  sa demande qu'elle ne retournera jamais en GrĂšce. SC 8 Hector demande Ă  HĂ©lĂšne si la GrĂšce est belle, si elle aime PĂąris, si elle pense qu'il l'aime, mais la jeune femme ne fournit que des rĂ©ponses Ă©vasives et contradictoires. Elle semble tout survoler. SC 9 Hector annonce devant HĂ©lĂšne qu'elle repart en GrĂšce, mais celle-ci s'y oppose, en fait, elle ne s'est pas ce qu'elle veut. Elle se laisse porter par les Ă©vĂ©nements, sans rien dĂ©cider. Hector essaie de la faire rĂ©agir en Ă©voquant les consĂ©quences dĂ©sastreuses d'une guerre, les pertes humaines, les destructions. Les prĂȘtres au nom des Dieux sont pour la guerre. Mais HĂ©lĂšne finit par cĂ©der et par accepter de partir. Les Grecs arrivent aux abords de la ville. Hector s'en va. SC 10 La paix apparaĂźt alors que Cassandre et HĂ©lĂšne Ă©voque l'avenir. On entend les hommes au loin pousser des cris. La paix disparaĂźt peu Ă  peu. ACTE II SC 1 HĂ©lĂšne appelle un jeune homme TroĂŻlus, il a 15 ans et lui demande de l'embrasser. Il refuse avec obstination. Elle est surprise car tous les hommes sont habituellement Ă  ses pieds. SC 2 PĂąris entre et demande Ă  TroĂŻlus d'embrasser HĂ©lĂšne, mais il refuse encore. SC 3 Demokos prend HĂ©lĂšne en photo afin de bien la contempler et de la graver dans sa mĂ©moire. SC 4 Les portes sont ouvertes cela symbolise la veut livrer aux hommes un nouveau chant de guĂšre, le gĂ©omĂštre juge plus utile de dire des Ă©pithĂštes. SC 5 Hector veut refermer les portes pour offrir la paix, mĂȘme si elle ne dure que quelques instants. Busiris, un expert du droit des peuples entre. On lui demande son avis. Il dĂ©clare qu'il faut faire la guerre par les Grecs n'ont pas respectĂ© les rĂšgles. Il apparaĂźt que ces manquements ne sont que des dĂ©tails au code de la guerre ils sont mal hissĂ© leur pavillon, la flotte grecque est entrĂ©e de face et a accostĂ© sans permission. Ces erreurs ont dĂ©jĂ  engendrĂ© la guerre. Mais Hector rĂ©siste et indique que les Troyens ne se sentent pas offensĂ©s par le comportement des Grecs et lutte avec acharnement pour convaincre les autres de ne pas entrer en guerre. Les portes se ferment, Hector prĂ©pare un discours pour les Grecs. SC 6 La petite PolyxĂšne, fille de Priam, Ă  la demande d'Andromaque, dit Ă  HĂ©lĂšne qu'elle doit partir. SC 7 PolyxĂšne s'entraĂźne Ă  ne rien sentir. HĂ©lĂšne accepte de partir mais la petite lui demande finalement de rester. SC 8 Andromaque dit Ă  HĂ©lĂšne qu'elle n'aime pas PĂąris et qu'elle ne peut donc pas ĂȘtre Ă  l'origine de cette guerre qui est un combat vulgaire. HĂ©lĂšne doit aimer PĂąris pour que cette guerre ne soit pas un flĂ©au. Andromaque lui demande au moins de la pitiĂ© mais l'autre n'est pas trĂšs forte en pitiĂ©. Andromaque s'estime perdue. SC 9 Oiax entre en cherchant PĂąris. Hector lui demande de dĂ©clarer la guerre s'il veut le conflit. L'autre refuse. A la place, il cherche Ă  offenser Hector par tous les moyens pour lui faire dĂ©clarer la guerre. Mais Hector reste inflexible mĂȘme aprĂšs une gifle. SC 10 Demokos entre et apprend l'outrage. Il se fait Ă  son tour gifler. Il se met Ă  hurler et Ă  crier aux armes. Hector lui demande le silence et le gifle pour le faire taire. SC 11 Priam entre. Hector nie les faits. Oiax se met Ă  admirer Hector. Andromaque est fiĂšre de son mari. SC 12 Ulysse arrive. Il leur demande HĂ©lĂšne en Ă©change de quoi il n'y aura pas la guerre si cette derniĂšre est rendue telle qu'elle Ă©tait avant d'ĂȘtre enlevĂ©e. Hector garantit qu'elle n'a pas Ă©tĂ© touchĂ©e par PĂąris. Ulysse interroge longuement le ravisseur qui nie avoir touchĂ© la femme enlevĂ©e. Ulysse le surnomme PĂąris l'impuissant. Un gabier, pour sauver l'honneur de Paris, dit que tout ça n'est que mensonges, qu'il a vu le couple se rapprocher. Iris entre et intervient au nom de Aphrodite elle leur interdit de sĂ©parer le couple PĂąris-HĂ©lĂšne. Mais elle transmet aussi un message de Pallas "tout ĂȘtre amoureux dĂ©raisonne" et le couple PĂąris-HĂ©lĂšne doit ĂȘtre sĂ©parĂ©! Quand Ă  Zeus, il demande qu'on les sĂ©pare tout en ne les sĂ©parant pas! SC 13 Hector et Ulysse ont une conversation pendant laquelle ils pĂšsent chacun ce qu'ils valent pour arriver Ă  leurs fins. Hector dĂ©couvre que cette guerre a d'autres raisons que l'enlĂšvement de HĂ©lĂšne Troie est riche, ses entrepĂŽts sont fertiles et la citĂ© suscite la jalousie. Il ne sert Ă  rien de rendre HĂ©lĂšne. La guerre est inĂ©vitable. Mais Ulysse indique que le retour de HĂ©lĂšne peut encore changer les choses. La guerre semble pouvoir ĂȘtre Ă©vitĂ©e. SC 14 Andromaque a entendu leur Ă©change. Oiax, ivre veut absolument tenir Andromaque dans ses bras. Demokos accuse Hector de lĂąchetĂ©, ce dernier le transperce avec son javelot, avant de mourir, il crie que c'est Oiax qui l'a tuĂ© pour dĂ©clencher la guerre. Hector hurle qu'il est coupable. Finalement, la guerre aura lieu "Le poĂšte troyen est mort... La parole est au poĂšte grec."
iQeS.
  • ma99zwxtgf.pages.dev/895
  • ma99zwxtgf.pages.dev/39
  • ma99zwxtgf.pages.dev/394
  • ma99zwxtgf.pages.dev/705
  • ma99zwxtgf.pages.dev/62
  • ma99zwxtgf.pages.dev/367
  • ma99zwxtgf.pages.dev/184
  • ma99zwxtgf.pages.dev/255
  • ma99zwxtgf.pages.dev/520
  • si c est un homme rĂ©sumĂ© par chapitre